Nous avons séjourné il y a deux ans dans cet hôtel, rien à voir comparé à maintenant. Nous avons été extrêmement choqué de l'attitude nonchalante et dédaigneuse de la part des rares personnes présentes. Mis à part la gentillesse d'Angeliki qui fait ce qu'elle peut pour essayer de "sauver le navire" Payer 160 euro la nuit pour une chambre "deluxe" et se retrouver dans un hôtel décrépit donne le sentiment de se faire vider les poches pour rien. A notre arrivée, gentil accueil, mais déjà le sentiment que les personnes présentes ne géraient rien dans l'établissement...heureusement que nous avions mangé au port, car il n'y avait rien à manger au restaurant le soir à part 1 salade grecque.... La douche fonctionnait mal, nous avons dû réclamer pour l'eau et faire changer une ampoule dans la salle de bain, le bac à bouteilles du frigo...cassé et entouré de ruban adhésif qui ne collait plus, moustiquaires trouées aux fenêtres, volets rouillés, etc... L’impression générale est le laisser aller, sauf pour vous prendre vos sous. La dame en noir du restaurant est la même qu'il y a deux ans et ne fait toujours pas d'effort pour aligner deux mots en anglais. Le petit déjeuner...au bout de deux jours, nous l'avons pris à l'extérieur... Machine à café à bout de souffle, trois toasts qui se courent après, oeufs aux plats froids, dans un rechauffeur pas chauffé...fruits fatigués qui brunnissent jours après jours et le tout dans un environnement peu propre, pas de tasses, pas d'assiettes, pas d'eau chaude dans les thermos...on est tolérant mais il y a des limites à tout. Il n'y a aucune supervision et c'est au client de se débrouiller. La plage est belle, les chaises longues hors d'âge ainsi que les parasols vers la piscine, également ce sentiment de solitude et de laisser aller. Nous avons pu comparer par la suite avec un autre établissement même moins cher de l'ile...le jour et la nuit ! Ceci a heureusement sauvé notre séjour à Amorgos. Nous avons payé beaucoup d'argent pour des prestations indignes, sentiment d'avoir été volés. Nous ne reviendrons plus.