Par téléphone, mon père a demandé à l’accueil de cet hôtel de réserver pour 1 semaine (fin octobre donc hors saison), pour mon conjoint et moi, la suite prestige 383 (car il venait d’y séjourner et en était revenu enchanté), pour laquelle nous avons reçu un engagement oral avant d’effectuer notre réservation (et paiement), et pour laquelle nous avons spécialement organisé notre voyage. Suite prestige 383 « occupée » à notre arrivée le samedi et donc déplacement « pour raison de planning » dans la 484 dite « équivalente » pour les 2 premières nuits, ce qui fût une amère déception lorsque nous sommes entrés dans la 383 le lundi soir. La 484 est classée en même catégorie que la 383, mais ne bénéficie pas du tout de la même qualité (ne ressemble pas à une suite au vu de sa petite taille et de son aménagement) pour, en revanche, le même prix. Aucune considération ni prise en compte de notre mécontentement par la direction d’un hôtel qui se dit de luxe : ignorance, attitude condescendante, puis, si on insiste, retournement de nos propos contre nous, déstabilisation, menaces, commentaires personnels, évitement des faits, rupture du dialogue jusqu’à nous « jeter dehors » (remboursement du prix du séjour alors que nous demandions le remboursement des 2 premières nuits). Je vous recommande de demander une trace écrite pour toutes les promesses que pourrait vous faire cet hôtel. Je vous recommande de demander des photos précises des suites classées en même catégorie (prestige et junior), non équivalentes selon moi. Le fait d’avoir 2 chambres classées en même catégorie permettrait à cet hôtel de déplacer (à sa guise) le client et ainsi d’obtenir le maximum de réservations (« une autre réservation a été faite après la vôtre »), tantôt en faveur tantôt au détriment du client, selon sa chance. Je déplore la stratégie commerciale de cet hôtel « de luxe » qui acceptera volontiers les compliments mais retournera toute critique contre vous « caprice d’enfant pourrie gâtée » (que M Acquale justifie car ce séjour devait être un cadeau alors qu’il a lui-même remboursé la CB de mon père), « allez vous faire soigner », et vous inventera un tissu de mensonges « nous avons les audios et vidéos » (alors que la CNIL n’autorise que les images) pour détourner l’attention des faits, et même appel de mon père pour lui demander que je retire mon avis !