Une HONTE ABSOLUE – Zephyr Hôtel Ifrane, l’un des pires établissements que j’ai connus. Je n’ai jamais été aussi méprisée, ignorée et prise pour une idiote que dans cet hôtel. À notre arrivée, ma meilleure amie et moi subissons un retard de plus d’1h20 pour le check-in. Soit. Mais malgré ma demande CLAIRE dans la réservation pour une chambre au rez-de-chaussée (je souffre d’une hernie discale, ce n’est pas un caprice), on nous balance une chambre à l’étage avec une vue immonde sur un chantier : poussière, gravas, outils, terrasse immonde, chaises dégueulasses. C’était tout simplement insalubre. Je redescends. Le réceptionniste, avec une arrogance à peine voilée, me sort : « Ah, les dames n’ont pas aimé la chambre ! » comme si on était des capricieuses. Il promet une nouvelle chambre le lendemain avec vue piscine. J’accepte, pensant naïvement qu’il allait tenir parole. Le lendemain, il a disparu. Je me retrouve face à une équipe incapable, qui me balade, m’ignore, et tente de me faire taire avec un faux sourire. Le responsable arrive enfin, écoute vaguement mon problème, me demande de lui faire confiance et de revenir plus tard. 2h après, aucun appel. Rien. Silence radio. Quand on revient, on nous donne une mansarde surchauffée, sans terrasse, avec une aération minable. En pleine canicule. Je redescends furieuse, et le responsable me balance : « C’est ça ou rien » avec un ton glacial. Puis il me tourne le dos comme si j’étais un chien qui aboie. Là, c’est le comble. Je demande à annuler et être remboursée. On m’ignore totalement. On me laisse plantée avec mes valises, on me regarde passer ma crise sans bouger. Le responsable dit aux hôtesses, devant moi : « Laissez-les, occupez-vous de votre travail. » 👉 C’est humiliant. Violent. Inadmissible. Le numéro de réclamation ? Il ne répond jamais. Et quand je demande à porter plainte, on me dit tranquillement : « Le service réclamations ne fonctionne pas. » À bout, je retourne à la première chambre, je prends photos et vidéos de cette crasse, je redescends les exposer publiquement à l’accueil devant les autres clients, et là, MIRACLE : on me donne enfin une chambre correcte. Donc vous aviez des chambres, mais vous avez choisi de nous maltraiter. Vous avez attendu qu’on explose de colère, qu’on hurle, qu’on s’affiche publiquement, pour bouger. C’est une honte. Une mascarade. Un cirque. Aucune compassion. Aucun respect. Aucun professionnalisme.