Pousada Capitù

Petite pousada située sur la sublime plage d’imbassai dans un très joli cadre très vert. Honnêtement, la première impression n’a pas été bonne, le village est un peu désert, 2-3 magasins et quelques restaurants, rues vides. Le parking de l’hôtel est une sorte de terrain vague, les chambres sont simples, la notre était bien (la 4) mais celle de nos filles (la 6) tristoune. Mais on avait la climatisation ce qui est vraiment bien pour rafraîchir la chambre. Et petit à petit, on se laisse séduire par la gentillesse et le sens du service d’Adrienne (qui parle français, très appreciable !) et son équipe (Qui nous organise une visite à Praia do Forté et une séance d’équitation sur la plage), le cadre et la plage féerique (la mer semble forte mais on s’y baigne sans problème), le super petit déjeuner, le calme, le bar de plage pour le déjeuner. On y est resté 4j et c’était très bien. Le coin piscine est sympa et le spa, niché dans la végétation, est très bien, super massages à prix raisonnable (120 reals). Au final l’impression est très bonne même si le confort reste un peu rustique mais c’est le concept. Une belle expérience, on recommande. On a aussi rencontré les propriétaires français très sympas qui étaient en vacances en même temps que nous.

Passer quelques jours dans cette "pausada" est une expérience merveilleuse, de celles qu'on n'oublie pas. Les maisonnettes sont construites en s'inspirant des techniques indigènes (toit en feuilles végétales, ventilation naturelle, etc), mais avec tout le confort (excepté airco et TV, mais c'est une bonne chose). Et cela change tout. On a l'impression d'être en osmose avec la nature et l'endroit 24h sur 24h. On l'entend presque respirer! En pleine nature, au milieu des cocotiers, on peut profiter d'une plage magnifique, d'un bar de plage super sympa, d'une piscine cachée quelque part au milieu de ce paradis, le tout à 500m à pieds du centre d'Imbassai. En plus, le service est impeccable, le personnel très sympa et le petit déjeuner délicieux. Nous sommes resté 10 jours, et nous avions le coeur gros de devoir partir …