La Tonnelle Guest House

Nous avons passé 10 jours en demi pension. La chambre climatisée aurait besoin d’un rafraîchissement, la salle de bain fait datée mais fait le job. La literie est confortable. Les petits déjeuner proposent viennoiseries, fruits et œufs/bacon à la demande. Le soir, les repas sont variés et copieux et sont traditionnels. Les prestations de l’hôtel comme la piscine ou le bar sont inexistantes, les photos sur le site datent de 10 ans. La piscine sert au club de plongée et n’est pas entretenue, c’est une eau stagnante qui ne donne pas du tout envie de s’y baigner. Le bar est en libre service basé sur la confiance mais il n’y a pas les ingrédients pour faire les cocktails. On nous a expliqué qu’en basse saison, il faut se contenter de ce qu’il y a. Le personnel est souriant et chaleureux, un grand merci à Geraldine et Gilles pour leur accueil et conseils pour profiter de l’île. À contrario le manque d’amabilité du directeur Denis ne nous donne pas envie de recommander son établissement

Très bon séjour passé dans l'établissement la Tonnelle dirigé par Denis . Denis a été très disponible et efficace pour gérer un soucis de santé. Sa cuisine était savoureuse , nous en garderons un très bon souvenir. Donc , un établissement à connaître sans problème.

15 jours à oublier à Maurice Ma chambre la 23, réservée il y 9 mois avec un grand balcon au milieu d'un petit jardin. Il vont s'en rappeler... Le bar avec possibilité de se servir et de noter ses consommations, vu qu'il y a rarement quelqu'un pour servir. Confiance des propriétaires. La cuisine très bonne quand c'est le patron Denis qui désire vendre l'hôtel qui est là. Clientèle d'habitué. N'a pas aimé · Par quoi commencer !!! La piscine, ayant en 2023 de mauvais commentaires sur la piscine ! j'ai envoyé à 2 reprises un message pour demander ce qu'il en était. En septembre on m'a répondu HaHa 😒mais vous venez qu'en janvier!!!! le 7 janvier la piscine était dans un état pitoyable, eau sale et je ne parle pas des feuilles, alentours on aurait dit un débarras, personne se baignait dedans. Elle servait juste au club de plongée attenant qui remplit ses bouteilles avec en plus un bruit pas agréable entourée de mur et la route. On m'a donné un transat confortable le 2ème jours, il est resté là pendant 15 jours y compris pendant le cyclone. Les patrons /gérants: Un cafouillage entre 2 personnes qui changent tous les 2 ou 3 jours, donc en demi-pension un jour menu du soir 2 plats avec l'autre 3 plats. Normalement les tables devaient être comme une maison d'hôtes , on mange ensemble mais ça aussi ça change tous les 2 ou 3 jours. Hotel trop grand pour ce système. Le propriétaire est là, est plus là, ils se relancent la balle quand on pose une question c'est pas moi, c'est l'autre. etc... Le gérant s'en va, il revient quelques jours plus tard. Le personnel en particulier une fille se jette sur vous le 2ème jours pour se plaindre qu'elle n'a pas eu ses congés, qu'elle est fatiguée (au rythme où elle avance et les allers et retours pour rien)? Elle a le culot de vous dire que vos cigarettes sont trop fortes quand vous lui en avez gentiment offertes quelques-unes le jour précédent. J'ai l'habitude de voyager depuis plus de 40 ans, plusieurs voyages par an mais là c'est le sommet du blues. La cerise sur le gâteau: un vieil allemand avec sa femme et amis, se promenait la nuit pour photographier les femmes dans leurs chambres , ainsi que le personnel féminin consentantes !! A l'époque de Me Too inacceptable, il est mal tombé avec moi qui avait la terrasse en face et qui dort très peu. J'ai observé ses agissements à maintes reprises et me suis posé des questions. J'ai averti le propriétaire, le personnel et les clients habituels ainsi que les nouveaux arrivants où ce SALE MONSIEUR s'empressait de faire ami ami... Tout le monde était au courant et comme on dit tout voir , tout entendre rien dire car cette personne était déjà là en décembre pour 2 mois. Même les filles, à force de les confronter à mes dires, ont avoué qu'il les photographiait !! Me battant seule contre tous pour faire venir la police, on m'a répondu en riant : si tu as des preuves 🤔je les appelle. Au bout de 15 jours, n'en pouvant plus, à contre coeur, j'ai abandonné et suis partie pour mes