Hôtels Mandarin Oriental à Boston

Arrivés lundi 13 juin 2022 au Mandarin oriental Boston en début de soirée. Dés notre arrivée nous observons sur les fauteuils et canapés du lobby de multiples tâches. Après le check in, nous passons par le couloir qui donne accès aux ascenseurs et là aussi la moquette est maculée de taches. Arrivés dans notre Suite 365, je constate qu’elle est sale. Des poils dans la baignoire dont l’émail a un accro, la commande de la douche qui ne tient pas, la moquette du salon est tachée des restes de repas collés. Dès le mardi matin j’informe la réception que la Suite 635 vendue entre 1500 et 1800 dollars la nuit est dégoûtante. A notre retour le mardi soir c’est toujours sale. Nous recevons quelques mots d’excuse de Brett H. Collins et quelques macarons. Le vendredi soir après 5 jours d’occupation de la Suite 635 c’est toujours dégueulasse ! J’observe également que le second WC de la Suite 635 que j’utilise pour la première fois est sale. Il y a du vomi partout. Samedi matin je demande à voir l’Hotel Manager Alexander von Süsskind mais il n’est pas là. Je rencontre donc pour la première fois Brett H. Collons et l’invite à monter dans la Suite 635. Je lui montre alors l’état déplorable de saleté de la Suite 635 qui n’a pas fait l’objet d’un nettoyage correct depuis plus de 6 jours. La baignoire a toujours un accro à l’émail, les poils sont toujours là, la poignée de commande de la douche n’a pas été réparée, le WC est dégoûtant, la moquette tachée des repas pris probablement par notre prédécesseur. Tout simplement inacceptable pour un hôtel et cela d’autant plus dans un hôtel Mandarin oriental. Un courrier sera prochainement adressé au Directeur général qui se targue de faire dans le luxe et vend sa Suite 635, 1800 euros par nuitée. Brett H. Collons nous présente une nouvelle fois ses excuses et nous explique que le directeur actuel de l’hôtel n’est arrivé qu’en janvier 2022. Nous sommes en juin 2022 et j’avoue ne pas comprendre son excuse qui ne tient absolument pas debout. Cela fait plus de 5 mois que le directeur Von Susskind est arrivée et son hôtel est dégoûtant. Le travail de la femme de chambre est de nettoyer cette dernière et celui de la gouvernante d’assurer le contrôle du nettoyage effectué. Apparemment pas de gouvernante au Mandarin oriental Boston. Il semblerait qu’au Mandarin oriental Boston on ne sache pas ce que « propreté´ veut dire et cela d’autant plus en période de Covid. Ci-joint, vous verrez certaines photos prises lors de notre séjour au Mandarin oriental de Boston. L’organisation générale est un vrai désastre.