Invité
31 janvier 2023
Très déçu car j'ai passé pas mal de temps à chercher le "bon" endroit où séjourner dans ce quartier magique. Il s’agissait d’un long voyage attendu depuis longtemps à travers la Grèce (et Istanbul) et, comme indiqué, j’ai pris grand soin de trouver le bon établissement dans chaque endroit visité. Mon séjour à Kalambaka ne devait pas être différent. Avec seulement 2 jours courts, ce devait être une question de qualité et non de quantité. Tout en restant quelque peu soucieux de mon budget, je n'allais pas me contenter d'une « salle économique » au fond du tonneau quelque part dans la région. Je voulais une chambre chaleureuse et accueillante avec un joli balcon pour me détendre, prendre un verre de vin, regarder les rochers et méditer sur mes expériences de la journée après une journée magique et spirituelle d'exploration des monastères. Après avoir recherché et examiné des hôtels, des bnb (qu'est-ce que vous avez), beaucoup dans la même gamme de prix, sinon moins, j'ai atterri sur Toti. Proche de tout (commerces, vie citadine, marchés, location de scooters et gare), mais pas "en plein milieu" de tout où ce ne serait pas aussi calme. Il y avait une décoration simple mais chaleureuse et accueillante et un balcon accueillant et confortable, exactement comme je le voulais (... du moins c'était annoncé). Comme je l'ai appris au fil des années, j'avais contacté l'établissement pour confirmer la chambre que je réservais ; taille, style, équipements, balcon, vue, etc. Dès réception de leur réponse par e-mail, m'informant qu'il n'y avait pas de cafetière/bouilloire, je devrais donc acheter le petit-déjeuner (???), j'avais un joli balcon avec vue sur les météores, ainsi que me conseillant de regarder les photos de la chambre qu'ils avaient publiées, afin de montrer à quoi m'attendre pour la chambre que je réservais. Avec cette confirmation, j'ai effectué la réservation. Quand je suis arrivé et qu'on m'a montré la chambre, j'étais impressionné (et pas dans le bon sens), à tel point que je me suis exprimé ainsi à peu près dès la minute où je suis entré dans la pièce. On m'a simplement dit qu'il y avait ce que j'avais réservé (??). Quand j'ai vu le "balcon", j'ai été encore plus surpris. Il y avait une porte de sécurité en métal sur un mur latéral qui s'ouvrait sur un "espace" qui ressemblait davantage à un palier extérieur qu'à un balcon. Pas plus de 5 x 3 pieds, une cloison en métal ondulé et une chaise de jardin en plastique coincée. Il n'y avait même pas de place pour une table, ils avaient donc une « table-plateau » fixée à la balustrade. Même s'il y avait une vue sur les rochers, c'était loin d'être confortable et relaxant car je devais me faufiler autour de la porte juste pour pouvoir accéder à la chaise et m'asseoir. Oubliez de pouvoir m'asseoir et vous détendre, car la seule façon pour moi de me dégourdir les jambes était de faire sortir un peu la chaise pour pouvoir fermer la porte (me laissant dehors) ; ce que j'avais peur de faire sans laisser de coin dans le montant de la porte, de peur de me retrouver enfermé sur ledit "balcon". (car la porte, la poignée, la serrure, etc. étaient des offres de type "unité de stockage" de qualité inférieure). Donc, après un rapide débat avec moi-même pour aborder ce problème avec la direction afin de tenter de résoudre et d'y remédier, je ne voulais pas perdre le minimum de temps dont je disposais pour gérer ce problème. J'ai déposé mes sacs et je suis parti explorer. A mon retour en fin de soirée, après un AMAZI
Texte originalTraduction fournie par Google