Prince de Galles, a Luxury Collection Hotel, Paris

Super !!! Juste un défaut sur l’ascenseur auquel le bouton d’appel supérieur ne fonctionnait pas.

Vraiment un très bel hôtel Accueil au top très bien situé j’y ai passé une nuit et ai été ravie. Ma chambre était grande très bonne literie très belle salle de bain et je félicite le personnel pour son amabilité et surtout sa gentillesse. A mon arrivée un jeune homme de la réception m’a fait visiter l’établissement Le service conciergerie est également à l’écoute et je les en félicite Merci pour votre accueil et gentillesse

Un brunch au « Pinces de Galles » : Commençons par la fin de ce brunch à prix d’or. Nous reprenons notre voiture après nous être acquittés d’une addition de plus de 300 € pour deux personnes avec les boissons, et tendons au voiturier de l’hôtel dix euros de remerciement. Il nous reprend, en précisant que le tarif est de 15 €, alors que celui-ci n’est indiqué nulle part, et que l’employé n’est de toute évidence pas un prestataire extérieur. La mésaventure m’inspire aussitôt le titre de ma critique: nous sommes aux « Pinces de Galles », très loin des cinq étoiles vendues. Revenons au brunch dominical. Le décor est le plus décevant des grands brunchs parisiens, austère, sombre, froid, plutôt Hilton que palace. La petite terrasse hivernale aménagée comme un chalet à cette époque de l’année était la seule touche charmante, malheureusement trop exposée au froid. Le regard file rapidement vers les buffets disséminés dans deux salons. Appétissants à première vue, ils ne sont cependant pas à la hauteur du tarif. Plus de remplissage que de gastronomie. Le plat chaud est servi à table, version tapas miniature. On se ressert au buffet, en gardant évidemment une place pour les desserts, spécialité de notre beau pays. Malheureusement, le réassort est laborieux, des plateaux vides voisinent avec un reliquat de mousse au chocolat, une fontaine à chocolat délaissée. Salades de fruits, cakes en tranches, rien d’inoubliable. On se rabat sur l’île flottante, quelques valeurs sûres. Sans doute que si le prix du brunch était resté raisonnable, mon commentaire le serait aussi. Mais au prix palace, on attend l’excellence. Du Michalak et du Conticini au menu, du niveau! Le personnel est aimable et bienveillant. Nous avons apprécié leur disponibilité. Les journalistes qui se font inviter peuvent jouer les attachés de presse, vous l’aurez compris, ce n’est pas un brunch où revenir, ni un cadre où célébrer une occasion spéciale. J’aurais du lire attentivement les critiques récentes qui relèvent un « brunch en chute libre ». La direction doit dormir, Ce fut une déception pour les fans de buffets que nous sommes.

Tea Time pas cher mais à éviter. Un Tea Tim au Prince de Galles, le minimum que j'attendais c'était de me voir servir des scones, comme le veut la tradition anglaise (n'est-on pa au Prince de Galles.) Habitié du Relais Plazza, je me suis toujours régalé des patisseries de Hélène Kerloeguen, mais quelle déception pour ce Tea Time! Autant je n'attendais rien du côté du chef Norbert dont la cuisine est trop grasse. La plus grande déception c'est vraiment le service, personnel pas à la hauteur, qui se vante d'avoir tous les thés et tisane sans savoir citer un nom de thé fumé, absent une fois le client servi, pas attentif à la salle ce qui m'a obligé à me lever pour demander un couteau. N'est-il pas étrange que pour un Tea Time pour deux on vous serve un Kouig Amman pas pré-découpé en deux parts? L'horreur absolu le fond musical à quoi s'ajoute un fond sonore d'un employé passant l'aspirateur au milieu des clients. Je finirai par dire qu'une pince à gâteaux est à mon sens le minimum que l'on peut attendre dans un établissement comme celui-ci tout comme le changement d'assiette entre la partie salée et sucrée.Mais mis à part au Ritz où les codes du savoir vivre sont respectés, ici il faut oublier et se contenter de contempler les splendeurs de l'Art Déco. Je suis très déçu et ne reviendrai certainement plus.