Après plusieurs séjours au Lindos Blu, celui-ci s’est révélé sans surprises: tout à été parfait du début à la fin. La situation de l’hôtel est idyllique, échelonnée le long de la falaise au dessus d’une plage de sable fin privée dans un paysage rocheux typiquement méditerranéen ( soleil, cigales, senteurs végétales). Les chambres et suites sont confortables, lumineuses et très calmes.La propreté des lieux est irréprochable. La restauration est d’excellente qualité, variée et attrayante. Chacun y trouve son bonheur. Le bar, situé au sommet de l’établissement, donne l’occasion de goûter ( avec la modération qui s’impose) des cocktails de haut vol réalisés par Vangelis, un artiste de la mixologie. La salle de fitness a vu tout son matériel renouvelé et c’est un vrai plus. Que ce soit autour de la piscine ou à la plage, les lits de plage sont toujours en nombre suffisant. L’ambiance générale est marquée par une courtoisie souriante. Ici, rien à craindre des malotrus qui réservent leurs transats dès les aurores, pour ne pas les occuper ensuite. Mais l’atout majeur de cet établissement reste la qualité exceptionnelle du service, du service d’accueil à l’entretien des chambres, en passant par la restauration et la plage. Il est clair que le management est efficace et s’attache aux détails. Les qualités professionnelles et humaines des personnels induisent la satisfaction des clients, détendus et souriants, cela contribuant grandement à la convivialité générale. Les personnels de la restauration sont réellement au top, souriants et efficaces. On peut citer plus particulièrement Anastasia, présente depuis des années, et dont la gentillesse sincère et le sourire permettent de commencer la journée de la meilleure des façons. L’ensemble de ses collègues mérite bien sûr nos compliments, de même que leur encadrement en salle. Une mention également pour les deux plagistes, efficaces, dévoués et souriants dans la chaleur. Et toutes ces dames qui entretiennent, nettoient à la perfection, et rendent notre séjour agréable, le tout agrémenté d’un « kaliméra » souriant… Voilà…c’était parfait. Quand c’est le cas, il faut le dire et surtout en remercier ceux grâce à qui çà l’est.